ECHEC

Un appel, j'demandais qu'un appel.
Un sms.
Arrête de penser qu'aux autres.

BON SANG mais...  
PENSE A MOI !

J'ai envie de faire un weekend, bruxelles ou amsterdam, ou Luxembourg.
J'ai envie de t'y inviter.
Mais j'ai peur de ta réponse.
Oui, oui, un petit oui.. et je ferais de ces journées, un réel conte de fée.
Je sais que ça m'avance à rien de penser tout le temps à toi, je sais que je rêve dans le vide. Mais en fait, je m'en fiche, parce que ça me fait du bien. J'ai l'impression que t'es un peu avec moi, toujours dans un coin de ma tête. J'ai l'impression d'avoir des papillons dans le ventre, des plumes qui me chatouillent les oreilles, des nuages sous mes pieds, c'est agréable. Et tant pis si ça rime à rien.

Tu me torture le coeur,

Je sais que tu me manipules ... Je sais que tu m'utilises quand tu veux, où tu veux. Que tu m'appelles que par intérêt, parce que je peux encore te rassurer, j'ai encore ce petit don là. Te rassurer, t'aider, je fais que ça. Parce que, je serais toujours , toujours disponible pour toi. Parce qu'avec moi, tu peux t'attendre à tout . Parce que POUR toi, je peux prendre ma voiture à heures du matin pour te rejoindre à 35 km de chez moi quand tu vas pas bien. Parce que je peux faire 1h30 de trajets dans le métro ou RER par jours pour te voir encore une fois. Parce que je peux t'attendre dehors sous le froid , sous la pluies des heures et des heures juste pour te faire plaisir. Venir te voir, avec le sourire et te ramener tes petites gourmandises adorés. Chanter, danser, penser à tout, à nous. Toutes ces heures perdues à te regarder, mais dis moi... Dis moi pourquoi j'suis la seule être comme ça ? Peu-on oublier une personne en quelques mois ? Une personne que l'on a chérit, adoré, foudroyé d'un amour passionnel ? Dis moi pourquoi, 1 an après , la cicatrice est encre ouverte, pourquoi je souffre de ton absence, pourquoi tu me manques ? oui, bien sûr que je t'aime, bien sûr que j'ai peur, bien sûr que je connais pas mon future. Des remises en questions, je ne fais que ça tu vois. D’émettre toutes sortes d’hypothèses qui aboutissent ou non à quelque chose de concret. Si tu savais ce que j'ai vécu, pensé, pleuré le soir. Ce que j'ai prié pour recevoir un appel, un sms, un message . Mais tout est vide. Tes messages n'ont plus aucuns sens. Aucunes émotions. Puis, je ne suis même plus cette priorité . Tu en a des autres, plus belles, plus minces, seules et indépendantes. Tu t'amuses tellement de tes journées que tu m'oublies 3/4 de temps. Marion, laeticia, Déborah , emilie... Où est ma place ? Dis moi juste ou je me situe dans tout ça ? Pas une seule fois, tu m'as seulement rassuré, pas une seule fois j'ai sentie ta présence utile pour moi. Pas une seule fois, je me suis sentie privilégié. Je voulais juste une oreille attentive, que tu n'arrives même plus à m'accorder. Si tu pensais moins à ton ombril, si tu ciblais les gens qui t'aimes et te connaisse vraiment, tu réaliserais peut être un peu mieux la chance que tu as eu de me connaitre. Eg tu regrettera certainement de m'avoir autant délaissé quand j'avais vraiment besoin de toi. Ton départ en Australie me traumatise. Ton départ dans le Sud m'effraies. J'aimerais tellement te garder contre moi, te serrer fort et te dire que je suis là. Te dire que ça va s'arranger et que oui... Effectivemet, sans toi j'suis plus rien. C'est tellement dur à admettre. D'être aux crochets de quelqu'un, mais c'est l'amour qui parle là. Et oui, effectivement, tu es,et tu restera, l'amour et l'homme de ma vie, et dieu sait que j'aimerais te l'entendre dire. J'oublierais pas cette dernière nuit chez moi. Ta tendresse et tes gestes qui ont parlés plus que tu ne le crois. Quand tu es avec moi, je retrouve ce petit ange mi adulte mi enfant , tu montres ton vrai toi, et j'adore ça. Sans fioriture, que toi et moi, tout les deux, tu es génial. Sans tricheries. Sans provocation. Mais sortie de ma cage, je re disparais comme d'habitude. Pitié j'attends un message. Un appel. Arrête de parler avec les autres, pense à moi, un peu , 5 %, 00.5 %. Si tu savais les efforts que je fais, le contrôle sur moi même . Il est tard, et je n'arrive plus à voir mon écran. En attendant, tu dois être avec cette fille, en soirée, en chez elle. La prendre en photo ou dans tes bras, voilà ce que je m'imagine là.

Lance moi ce sourire, un regard, ta main . Sers moi fort, fort. Pitié, ne me lâche pas. MZ.



« Je te connais, tu survivra à notre séparation. Parce que tu ne m'aimes pas. Parce que tu n'aimes personne. Parce que tu n'as pas d'émotions. Les nuages survolent ton cœur, mais ne s'impriment pas. Comme une enfant gâtée à qui on offre un jouet. Elle bat des mains, s'amuse un moment puis le laisse tomber. Pour passer à un autre. Encore plus grand, encore plus beau, encore plus décevant. Rien ne peut combler le vide de ton cœur. Tu ne sais plus quoi rechercher pour te faire trembler... Il te faut des orages, des ouragans pour que tu éprouves une petite, toute petite émotion.»

Une inconnue

Mon amour, Demain je pars pour un grand voyage. Et même si je suis triste, je pars heureux et serein car j'ai appris avec toi à ne pas avoir peur de ce que nous réserve l'inconnu. J'ai appris que de montrer nos fragilités pouvait nous rendre plus fort. J'ai appris à ne pas avoir peur d'aimer. Avec toi S, j'ai appris à vivre. Tu vas tant me manquer et pourtant je sais, je sens en moi que nous allons nous retrouver. Alors peu importe le nombre de jours ou de semaines qui nous séparent de ce moment là, puisque nous nous retrouverons pour longtemps. En attendant, je te laisse un peu de mon odeur et cette petite lumière pour que tu n'aies plus jamais peur du noir, tant que tu seras toute seule, tant que je ne serai pas à côté de toi. Je t'aime et je t'attends.

Dis moi tout ça.

Rassure moi, aime moi. Merde, reviens moi.
Ô prince des iles, Mon héros, mon Ange, mon Démon. 

B-St-G , 9 Oct 2012 en tête à tête. 3,2,1 cm. 



Un aprem à B', bisous, calin, tendresse, amour. Surtout de l'Amour.

Tu te souviens pourquoi on est tombés amoureux ? Tu te souviens pourquoi c'était si fort entre nous ? Parce que j'étais capable de voir en toi des choses que les autres ignoraient. Et c'était la même chose pour toi.
Depuis que tu es partie, j'ai pu compter jusqu'à sept millions neuf cent quarante-huit mille huit cents. Tu as eu le temps d'aller te cacher loin. Je cherche partout. Je ne trouve pas, je désespère. La partie de cache-cache dure trop longtemps. Allez, tu as gagné, tu peux sortir de ta cachette. je n'ai plus envie de jouer. Sors de ta cachette, je t'en supplie, j'ai perdu, j'ai tout perdu. Non. Je ne manque nulle part, je ne laisse pas de vide. Les métros sont bondés, les restaurants comblés, les têtes bourrées à craquer de petits soucis. J'ai glissé hors du monde et il est resté plein. Comme un œuf. Il faut croire que je n'étais pas indispensable. J'aurais voulu être indispensable. A quelque chose ou à quelqu'un. 
 
A propos, je t'aimais. Je te le dis à présent parce que ça n'a plus d'importance.
 
Lisboa
 

Je lance un SOS

Il va partir à l'étranger pour s'éloigner de moi, mais je crois, qu'il n'y a pas de distance assez lointaine quand on aime. Il dit que je suis la 4éme femme, après ses sœurs et sa grand mère, qui lui manquera, que je suis trop importante pour être effacé comme ça mais, il suffirait qu'un homme dans la rue lui ressemble pour que je le vois marcher. Que ma main griffonne son nom sur une feuille de papier pour le faire apparaître, que je ferme les yeux pour voir les siens, que je m'enferme dans le silence pour entendre sa voix. Mon dieu que j'ai peur, mon dieu que j'ai mal, mon dieu que je souffre. Ma vie est un cauchemar, où le rêve à fait place au désespoir . J'ai perdue toute confiance, en moi, en la vie, en nous, et si tu n'es plus là ? Qui va me guider ? Qui va me sauver quand j'irais mal ? Où sera cette oreille attentive dont j'avais tant besoin ?